> Réduire et valoriser ses déchets végétaux dans son jardin
N’oubliez pas le compostage des déchets fermentescibles et des déchets de jardin. Un guide édité par l’Ademe peut vous y aider. De quoi donner du tonus à votre jardin en vous évitant des déplacements en déchetterie !
Et si vous voulez un composteur > inscrivez-vous à l’accueil de la mairie 😉
> Lutte contre la prolifération des taupes
Vous trouverez par ce lien une information de la FDGDON Morbihan pour la formation à la lutte contre la prolifération des taupes.
Les inscriptions aux séances sont à faire à l’accueil de la mairie.
> Construction de nichoirs dans le campanile de l’église
Vous trouverez ici le compte-rendu concernant la construction d’un nichoir pour la chouette effraie des clochers dans le campanile de l’église du bourg. Le but est de pouvoir accueillir une nouvelle famille à Landaul.
> Chauves-souris
Suite à l’article paru dans le Doeriou de septembre, voici de quoi alimenter votre réflexion sur cet animal et pourquoi pas construire des nichoirs.
L’arrêté préfectoral du 5 juillet 2010 fait obligation aux propriétaires, métayers, usufruitiers ou usagers de procéder à la destruction des chardons dans chacune des parcelles qu’ils possèdent ou exploitent. La destruction des chardons doit être opérée durant le printemps et l’été de préférence par mécanique et être terminée au plus tard avant la floraison.
Selon une estimation récente, le nombre de nids de frelons asiatiques présents dans le Morbihan pourrait avoisiner 1500 en 2014. Un chiffre à mettre en regard du nombre recensé en 2013 : 235 et en 2012 : 63… Cette évolution donne une idée de l’ampleur du phénomène auquel la France est confrontée avec l’apparition de cet insecte invasif et sans prédateur détecté pour la première fois il y a une dizaine d’années. On sait que l’un des problèmes majeurs qu’il pose est le fait qu’il se nourrit en grande partie des abeilles, mettant en péril l’équilibre de notre environnement. Les abeilles, comme d’autres insectes sont indispensables pour assurer la pollinisation des végétaux dont les légumes ou les arbres fruitiers. Leur disparition, voire même seulement leur affaiblissement serait catastrophique.
Le département du Morbihan a décidé de s’engager dans une opération de piégeage sélectif à laquelle l’ensemble de la population est invitée à participer en posant des pièges pour capturer les reines fondatrices avant qu’elles ne reconstituent de nouveaux nids.
Le département du Morbihan a décidé de s’engager dans une opération de piégeage sélectif à laquelle l’ensemble de la population est invitée à participer en posant des pièges pour capturer les reines fondatrices avant qu’elles ne reconstituent de nouveaux nids.
Le FDGDON (fédération départementale des groupements de défenses contre les organismes nuisibles) est chargé d’organiser la lutte contre le frelon asiatique. Ses représentants participent à des réunions d’information pour expliquer notamment comment piéger les frelons et fabriquer ces fameux pièges sélectifs.
Le cycle de vie et de reproduction : Les reines construisent des nids primaires l’hiver à l’abri (sous un toit, un appenti…). La Reine est seul et sa première ponte donne naissance à des ouvrières. Courant juin, elles construisent un nid secondaire dans lequel elles donnent naissance à de futures reines. Du 15 août au 15 octobre ces nids peuvent contenir entre 5 et 6000 individus. De 2 à 400 d’entres elles seront fécondées et vont quitter les nids. Il y a alors une très forte mortalité jusqu’au printemps et seules quelques reines survivront. Un nid peut donc entrainer la création de 5 à 6 autres nids. Mais c’est un coefficient multiplicateur très important.
L’alimentation des frelons asiatiques. Au printemps et à l’automne, les frelons cherchent des aliments plutôt sucrés. De juin à l’automne, il adopte un régime carnassier car il a besoin de protéines pour nourrir le nid. C’est à de moment-là qu’il attaque les abeilles dont il prélève le thorax, très riche en protéine. Les abeilles constituent la moitié de son alimentation.
Les risques
Pour l’homme. les frelons asiatiques ne seraient pas plus dangereux pour l’homme que le frelon européen. ATTENTION, toutefois. Une idée très répandue veut que les frelons asiatiques construisent des nids très haut dans les arbres. Dans ce cas la destruction par inadvertance d’un de ces nids peut entrainer une attaque aux conséquences très graves.
Pour les abeilles. Elles commencent à organiser leur défense en s’agglutinant autour du prédateur qui meurt étouffé. Mais cette adaptation est surtout observée dans le sud-ouest où le frelon asiatique est présent depuis une dizaine d’années. Il semblerait que l’abeille noire qui est l’espèce originaire de Bretagne -elle avait été délaissée au profit d’espèces plus dociles- se défende mieux. Mais les attaques des frelons les stressent et les fragilisent.
La destruction des nids. Elle prend plusieurs formes. La destruction des nids soit être confiée à des professionnels agrées par le FDGDON . En 2015, le conseil général a décidé de prendre en charge 50 % du coût de destruction d’un nid.
La saison de lutte contre le frelon asiatique 2023 s’est terminée avec une nouvelle hausse des populations. La lutte pour limiter la pression sur les ruchers et les risques envers la population doit se poursuivre en 2024 de manière collective et organisée. En particulier, le piégeage des fondatrices au printemps doit être assuré, dans le respect de règles techniques précises pour viser la meilleure efficacité et sélectivité possible. Pour vous aider dans cette action, vous trouverez ci-dessous la documentation, que nous transmettons également à votre ou vos référents frelon asiatique :
> La lutte contre les moustiques : un enjeu de santé publique
La prolifération des moustiques constitue un risque sanitaire et vétérinaire. Certains moustiques sont en effet potentiellement vecteurs d’agents pathogènes (virus, bactéries, parasites) d’autres peuvent provoquer de graves allergies.
L’EID ATLANTIQUE
L’EID Atlantique est un établissement public Interdépartemental pour la Démoustication du littoral Atlantique qui regroupe 5 Départements de la façade atlantique (Gironde, Charente-Maritime, Vendée, Loire-Atlantique et Morbihan). Il assure une mission de surveillance, d’expertise et de régulation des moustiques nuisant et vulnérants pour l’homme. Le Département du Morbihan en est membre et financeur depuis 1997.
L’EID Atlantique est un établissement public Interdépartemental pour la Démoustication du littoral Atlantique qui regroupe 5 Départements de la façade atlantique (Gironde, Charente-Maritime, Vendée, Loire-Atlantique et Morbihan). Il assure une mission de surveillance, d’expertise et de régulation des moustiques nuisant et vulnérants pour l’homme. Le Département du Morbihan en est membre et financeur depuis 1997. La stratégie adoptée est une lutte intégrée adaptée aux enjeux sanitaires et à la sensibilité des milieux pour assurer une « prévention collective » : L’Information et la prévention sur les risques sanitaires et vétérinaires ; La veille et surveillance entomologique quotidienne : inventaire des espèces de moustiques, identification des « espèces cibles » ; La régulation des moustiques vulnérants et vecteurs potentiels de maladie lorsque cela est nécessaire avec un produit biologique.
Les zones humides de Landaul sont des habitats propices au développement de nombreuses espèces de moustiques. Ils colonisent divers habitats « naturels » (prés salés, anciens marais endigués, sous-bois inondables) et artificiels (réservoirs d’eau, abreuvoirs, vides sanitaires) à différentes périodes de l’année. Eté comme hiver, les moustiques sont présents toute l’année à l’état d’œufs, de larves, de nymphes et d’adultes. La prolifération des moustiques peut également être favorisée involontairement par l’intervention de l’homme soit par des gestions hydrauliques mises en œuvre sur les marais endigués, soit par l’absence d’entretien et de gestion hydraulique ou par dégradation (piétinement des bovins sur les prés salés).
L’EID Atlantique réalise donc un inventaire et un suivi des populations de moustiques sur l’ensemble du territoire communal. 10 espèces cibles sont observées sur la zone de surveillance d’Etel et peuvent faire l’objet d’une régulation. Les traitements anti larvaires sont alors effectués à l’aide d’un pulvérisateur manuel ; le produit utilisé est exclusivement du Vectobac®WG (Bacillus thuringiensis H14) certifié Ecocert® et compatible avec l’agriculture biologique (mention AB®).
Les rats sont des rongeurs qui occasionnent beaucoup de dégâts. Porteurs de maladies, les rats causent également des dégâts sur les bâtiments. Ils s’attaquent aux gaines, câbles électriques, charpentes, et même aux maçonneries ! Les rats peuvent également être vecteurs de maladies lorsqu’ils urinent ou défèquent dans un local contant des denrées alimentaires.
Pourquoi lutter contre les rats ? Les rats sont des rongeurs qui occasionnent beaucoup de dégâts. Porteurs de maladies, les rats causent également des dégâts sur les bâtiments. Ils s’attaquent aux gaines, câbles électriques, charpentes, et même aux maçonneries ! Les rats peuvent également être vecteurs de maladies lorsqu’ils urinent ou défèquent dans un local contant des denrées alimentaires.
Une femelle peut donner naissance à 55 petits chaque année ! C’est pourquoi il est essentiel d’agir vite ! La dératisation requiert savoir-faire et technicité, confiez-le à un spécialiste. Vous pouvez toutefois essayer les traitements par pièges (tapettes) mais cette méthode est souvent obsolète.
En effet, les rats évoluent et s’adaptent très rapidement aux traitements pour ne plus être pris ! Nos fabricants sont contraints de créer, chaque année, de nouvelles formulations pour nos appâts. Ceci nous assure de vous apporter des solutions fiables et efficaces.
Reconnaître une présence de rats
Avoir un rat dans sa maison peut rapidement gâcher la vie. En plus des problèmes d’hygiène qu’il cause, le rat génère aussi du bruit ! On se rend souvent compte de sa présence la nuit. Ceci commence par des bruits de petit-pas dans les combles, et parfois, par des bruits dans les murs. Les rats se reconnaissent facilement à leurs déjections. Si vous en trouvez, comparez-les à des grains de riz. Si les « crottes » sont plus grosses, alors il s’agit de rat, si elles sont plus petites ou de taille identique, vous avez affaire à des souris ou des mulots !
Les méthodes de dératisation
Il existe 5 principaux traitements pour se débarrasser, ou se protéger, des rats : – Le traitement par appâts consiste à mettre en place des postes d’appâtage sécurisés. Il s’agit d’une méthode extrêmement efficace. – La dératisation mécanique consiste à rechercher les points d’entrées et à poser des matériaux bloquants spécifiques. – Le traitement par pièges (tapettes ou nasses) est une méthode parfois efficace, plutôt destinée aux particuliers qui peuvent se procurer ce matériel facilement. – Les répulsifs et pièges à glue – Les chats
Le traitement des rats par appât Le traitement par appât est extrêmement efficace. L’appât s’installe dans un boitier d’appâtage sécurisé. Le rat vient se nourrir de cet appât et décède généralement sous 24h à 48h. Le rat est un animal sociable, qui vit généralement en groupe d’individus. Lorsque le rat se nourrit, et selon sa position sociale au sein du groupe, il partage sa nourriture avec ses congénères. Ainsi, l’ensemble de la colonie peut être atteinte par ce traitement.
La dératisation mécanique La dératisation mécanique consiste à analyser la zone puis à bloquer les points d’entrée des rongeurs. Cette intervention n’est réalisable que sur des bâtiments clos. Il est évident que ce type d’intervention est impossible sur un carport par exemple ! Pour une dératisation mécanique, il est nécessaire de bien connaitre les habitudes des rats, mais également de disposer du matériel adapté ! Les rats sont capables de creuser le béton et de découper du grillage à poules ! Si vous envisagez de boucher les points d’accès avec de la mousse, du bois, ou même, du béton, c’est peine perdue ! Les professionnels disposent des connaissances et du matériel spécifique pour réaliser ce type de prestation.
Les pièges à rats type « tapettes » Il existe deux types de tapettes à rats à destination des particuliers. Les pièges à ressort en bois sont les tapettes classiques en bois. Les tapettes « à dent, » comme les tapettes « T-REX » sont plus efficaces. Les pièges tapettes ont l’avantage d’être peu couteux et simple à mettre en œuvre. Leurs résultats sont néanmoins limités et moins efficaces d’années en année. Certains pièges plus novateurs permettent néanmoins d’obtenir quelques résultats. Les tapettes T-REX par exemple, ont de meilleurs résultats que les tapettes à rats plus classiques. Pour obtenir de meilleurs résultats, il est prudent de coupler les tapettes avec des nasses.
Les pièges type « nasses » Les nasses sont des pièges permettant de capturer l’animal vivant. Ce sont des pièges parfois efficaces, et d’autant plus lorsqu’ils sont combinés avec des tapettes. L’avantage de ce type de piège est de garder en vie l’animal. C’est aussi un inconvénient. Qu’allez-vous faire du rat une fois capturé ? Le tuer après l’avoir vu n’est pas toujours facile. Le relâcher plus loin n’est pas autorisé. Le garder n’est pas envisageable. Les nasses demandent également de faire extrêmement attention lorsqu’elles sont manipulées avec un rat vivant à l’intérieur. En effet, ce dernier peut mordre à travers la nasse. Une morsure de rat peut provoquer de graves complications. Si vous êtes mordu, contactez immédiatement votre service de santé.
Les autres méthodes : glu et répulsifs
Les pièges à glu capturent le rongeur en le collant directement sur le piège. Ces pièges sont plutôt efficaces contre les souris. Les rats sont puissants et arrivent souvent à se libérer. Les répulsifs fonctionnent, mais leurs effets s’estompent très vite. Afin d’être efficace, un répulsif doit être pulvérisé régulièrement. Cette solution n’est pas envisageable dans les locaux alimentaires. Dans une maison, la pollution de l’air générée par cette méthode peut être gênante pour les occupants.
Les chats Les chats ne sont pas toujours efficaces contre les rats. De nombreux témoignages citent des chats réussissant à capturer un lapin. Alors qu’en est-il pour les rats ? D’une part, tous les chats ne sont pas « entrainés » et capables de chasser un lapin ou un rat ! Certains rats font le poids d’un lapin, parfois celui d’un chat ou d’un petit chien. Les rats disposent de griffes et de dents qui leur permettent de se défendre. En cas de morsure, votre chat risque une surinfection. Si vous avez un chat, pour votre plus grand bonheur, il vous aidera autant qu’il le peut dans votre lutte contre les rongeurs selon ses compétences ! Il serait, par contre, totalement inadapté de prendre un chat uniquement dans le but de réduire votre population de rongeur ! Si toutefois vous choisissez d’adopter un chat, rappelez-vous que celui-ci a des besoins : alimentaires, affectifs et qu’il restera à vos côtés pour les 15 prochaines années !
La Mairie de Landaul propose des graines pour tuer les rats. Venez donc chercher des sachets de graines pour éradiquer cette invasion qui a deux causes :
– Les pluies et la tempête des semaines dernières ont détruit leurs habitats et ruiné leurs sources alimentaires. Ils ont faim et se rapprochent des habitations ou tous lieux ayant de la nourriture.
– Les nouvelles normes de collectes des déchets ont déstabilisé certains d’entre nous : La collecte de biodéchets nous demande de mettre les restes de viandes, poissons et fromages dans la poubelle des bio-déchets. En revanche il ne faut rien changer pour votre compost, surtout que des épluchures, des fruits et des légumes sinon bien entendu les rats vont envahir vos jardins ! Si vous laissez des graines dans le garage ou la cave prenez garde que les boîtes soient hermétiques.
– Enfin un remède qui fonctionne le bicarbonate de soude mélangé à du beurre de cacahuète.
